vendredi 25 janvier 2013

Bonne année 2013 !!!


droit : http://koyote.kissfoodtoo.operaunite.com/

Bonne année à tous !

ok. C est le 25 janvier et ça commence à faire un peu réchauffé... mais je suis le temps. Je passe à l'ère glaciaire, je m’emmitoufle dans mes congères, je vis au ralenti, et je ne m'encombre pas de date.
Donc, une excellente, magique, merveilleuse et sublime année 2013.

Je viens de jeter un coup d'oeil aux stats. Alors, une bonne année bien ciblée à tous les sympathiques lecteurs issus d'azerbaidjan, d'espagne, de belgique, d'algérie et des états unis, qui ont réussi à arriver jusqu'à ce blog lol

Et bonne année particulier à ceux qui prennent le temps de s'arrêter sur le trottoir pour regarder le ciel.

Bonne année à ceux qui trouvent  le bonheur dans les petits rien et les grands n'importe quoi. 

Bonne année à ceux qui créent de l'amour, du plaisir.

.... et bonne année à tout le monde ! 


vendredi 19 octobre 2012

La passion


Les semaines passent, ce blog a du mal à être alimenté. Fainéantise, certainement. Manque d’inspiration, peut être. Pas de passion pendant quelques temps ? Ah ? on approche..

Effleurons donc ce sujet qu’est la passion.

Presque chacun des posts écrits jusque là tournait autour d’une passion. Et même, chaque article est écrit avec une motivation profonde, voire avec passion…
Alors, c’est quoi la passion ?  C’est la base de la vie. Non pas dans le sens animal, mais dans un sens humain. Une fois qu on a tout en main pour vivre : l’air, l’eau, la nourriture, ..  pour satisfaire les besoins vitaux ; le côté humain a, lui, besoin d’un moteur pour avancer, pour se dépasser. J’irais même à dire que c’est la base de nos sentiments. Dés lors que la passion est présente, la curiosité, la joie, la peur, le courage… tout est démultiplié.
Tous ceux et celles qui ont fait avancer notre humanité, tous celles et ceux qui s’accomplissent ne peuvent pas être qu’un peu motivés. Ils sont motivés à fond, passionnés, ils se sont dépassés. C’est ça une vie de passionné : se réaliser, se trouver au-delà des routines, au-delà du cadre.

Pas si simple.

Mais quelle passion ? Une passion nous tombe dessus comme un orage. Mais pour se développer il faut savoir qu’on peut y répondre. Ca ne se réfléchit pas. Elle se saisit au moment où elle se présente. La passion est déjà en nous et elle se révèle, un jour… ou l’autre. Au hasard des connaissances acquises, des échanges… des rencontres.

Une passion nous conduit à être « vivant ».


Pour ce qui me concerne, c’est vrai que je ne pourrai pas vivre sans passion. Chaque étape de ma vie (longue maintenant ;)) s’est fait autour de passions. Une série de passions, ensemble ou à la suite ; certaines permanentes, d’autres qui évoluent : mes enfants, mon boulot, par amour, internet. Dés lors que ces passions s’éloignent, à certains moments,  il n’y a plus d’existence, plus d’intérêt.


C’est surement une chance, elles donnent l’envie d’avancer, de construire. Elles motivent et rendent attentive aux autres.

Alors ? Quelle chute sur ces réflexions ? La passion est nécessaire à l’humain, une fois les besoins vitaux assouvis ? oui… mais encore faut il se mettre en capacité de la trouver.

Une fois que j’ai dit ça… il n’y a plus qu’à …

jeudi 7 juillet 2011

La fidélité


Voilà quelques belles réflexions à avoir sur les plages d'été !!!!

Un texte de philo trouvé par hasard sur un site (le lien est en cliquant sur le titre de cet article)... et je m y suis retrouvée à fond. Enfin presque... j'exclus de cet accord global, la toute dernière ligne... Mais le constat est partagé.

La fidélité, l'engagement, même combat. C est surement un début d'humanité.

"A l’origine de toute forme de fidélité se trouve un engagement. Que ce soit en amitié ou en amour – la fidélité conjugale étant ici l’exemple typique –, ou encore dans le serment de fidélité d’un vassal à son suzerain, on ne peut en toute rigueur dire d’une personne qu’elle est fidèle, ou infidèle, que si elle s’est au préalable engagée à respecter une promesse ou une certaine constance. Il se peut toutefois que cet engagement soit implicite, en amitié par exemple, ce qui peut d’ailleurs être source de malentendu.

La fidélité engage ainsi sur l’avenir ; c’est pourquoi elle peut avoir la forme d’une promesse ou d’un serment explicites, c’est-à-dire de choses qui par définition peuvent être, comme on dit, trahies. Remarquons bien qu’il ne s’agit pas là d’une caractéristique secondaire ou “accidentelle” de la fidélité : c’est précisément parce qu’on ne peut jamais être absolument sûr qu’il sera tenu que l’engagement de fidélité a le sens qui est le sien. La fidélité est donc constamment à confirmer et peut en permanence, ou du moins régulièrement, être rompue, et un seul faux pas suffit ici : la fidélité est totale ou n’est pas.

C’est pourquoi la fidélité dans sa première forme, c’est-à-dire lorsqu’elle est fidélité à une personne, repose sur la confiance de cette personne et, comme la confiance, est en général réciproque, au moins “officiellement”. Certains la poussent d’ailleurs très loin : dans le Nouveau Testament, Jésus affirme que « quiconque regarde une femme pour la désirer a déjà commis, dans son cœur, l’adultère avec elle. » (Evangile selon Matthieu, 5, 28). En un autre sens, celui qu’on appelle le “fidèle” d’une religion donnée prend également un engagement envers celui qu’il considère comme une personne, à ceci près que la “personne” en question est une divinité. Notons que “l’infidélité” prend alors une forme bien particulière.

On n’est donc tenu, en toute rigueur, d’être fidèle qu’à ce à quoi on s’est engagé. Certains couples – modernes diront certains, dépravés diront d’autres – s’accordent sur une autorisation réciproque d’adultère, une sorte de “polygamie” mutuellement consentie, et leurs membres ne peuvent pour cette raison être qualifiés d’infidèles, quoi qu’on pense par ailleurs de leur conduite. Il n’y a infidélité que s’il y a rupture d’un engagement pris, et donc trahison de la confiance accordée par la personne à qui on s’était engagé à être fidèle.

Il en va autrement de la deuxième forme de fidélité : celle qui n’est pas fidélité à unepersonne, mais à une ou des valeurs, morales ou politiques par exemple. Qu’est donc, dans ce cas, l’infidélité ? Elle peut être soit la reconnaissance d’une erreur ou d’un mauvais choix dans l’engagement initial de fidélité, et se fait alors parfois au profit d’un engagement vers de nouvelles valeurs, soit un “faux pas” qui devrait alors être regretté. Le premier cas peut être illustré par le militant politique qui quitte son parti pour un autre ; le second par un écologiste convaincu qui, par paresse et pour une seule fois, jette son verre dans une poubelle non prévue à cet effet. Si ce second cas peut être rapproché de l’infidélité à une personne, même s’il est sans doute moins grave, le premier montre qu’il n’y a pas grand sens à s’engager à être définitivement fidèle à une cause ou à des valeurs. Ce serait là renoncer à sa liberté de penser – et plus précisément de changer d’avis – et, si l’on veut rester fidèle quoi qu’il arrive, risquer de l’être un jour sans sincérité : si l’on doit être constant dans ses valeurs, ce n’est pas parce qu’on s’est engagé dans le passé à leur être fidèle, mais parce qu’elles restentdignes d’être suivies.

On peut alors remarquer que l’expression « être fidèle à soi-même » ne peut pas réellement signifier autre chose qu’avoir une vie, un comportement en totale cohérenceavec ses pensées, même si, du fait de changements de pensées, cette cohérence implique des changements de vie ou de comportement, y compris fréquents. Ainsi le membre d’une secte qui, dans un moment d’égarement ou après mûre réflexion, s’est engagé à être toute sa vie fidèle à son gourou et qui, devenu lucide, regrette et rompt cet engagement, peut bien être jugé infidèle à ce gourou, mais pas à lui-même, au contraire : c’est en restant fidèle à son gourou qu’il serait devenu infidèle à lui-même. Ici réapparaît le délicat problème du rapport entre fidélité et liberté : comment s’engager à être fidèle, d’une quelconque manière, sans abdiquer sa liberté ? Qui peut affirmer qu’il ne pensera jamais que l’engagement de fidélité qu’il a pris était une erreur, ne serait-ce qu’une “erreur sur la personne” ? Or, si l’on admet qu’on peut se tromper sur les personnes comme sur les valeurs auxquelles on s’est engagé à être fidèle, ne peut-on pas en conclure que la seule fidélité à laquelle on doive s’engager, et même la seule qui ait un sens, est la fidélité à soi-même ? M.A."


dimanche 2 janvier 2011

Bonne année 2011 !

Une année 2011 à la hauteur de ce que vous voulez.
Une année 2011 pour tout ce que nous pouvons souhaiter.

J aimerais que ce soit une année pour trouver un nouveau monde !

dimanche 28 novembre 2010

... re oups ...


Deux ans plus tard ....

Pour satisfaire une femme à coup sur :

- Caresser, faire des éloges, dorloter, faire les choses avec goût, masser, faire des plans pour le futur, complimenter, supporter, ne pas tourmenter, être propre, être apaisant, consoler, étreindre, choyer, exciter, calmer, protéger, téléphoner, anticiper, bécoter, desservir, pardonner, se sacrifier, partir, revenir, supplier, divertir, charmer, rester en arrière, ramper, démontrer l'égalité, fasciner, attendre, implorer, pleurer, se laver, se raser, avoir confiance, s'aplatir, défendre, cajoler, bien se vêtir, glorifier, se parfumer, fusionner, pétiller, aider, câliner, être sensible, admettre, progresser, récompenser, embrasser, accepter, écouter, comprendre, évoluer, offrir des cadeaux, aimer danser, quémander, implorer, s'adapter, soigner, réparer, respecter, soulager, mourir pour elle, tuer pour elle, rêver d'elle, promettre, délivrer, servir, taquiner, flirter, se confier, s'engager, désirer, murmurer, se blottir, élever, adoucir, servir, frotter, sauver, mordiller, gratifier.

Pour satisfaire un homme à coup sur :

- Sucer.

mercredi 31 mars 2010

Au bord d'un monde ...


C'est crié sur tous les toits : il n'y a jamais autant eu de progrés technologiques mais il n y a jamais autant eu egalement de peuples qui souffrent... et je ne parle pas de la pauvreté directe des pays industrialisés, pauvreté directement issue de ces "nouvelles" sociétes et des modes de vie .. je parle de ces peuples délogés ou en passe de l'être par les changements climatiques, des peuples qui paient les erreurs et l'egoisme de tous les pays des millenaires precedents... Tout cela a une repercussion dans la vie de chacun d entre nous. Il ne sera plus question pour un pays de vivre au sein de ses frontieres, a l abri de ses lois et de ses regimes sociaux. La tete bien dans son sable. Et surtout pas d'erreur !! rien à mettre sur le dos de la mondialisation, hein !C'est la mondialisation qui a toujours aidé l'etre humain .. la mondialisation au neolithique, le feu a progresse partout, porté par l'être humain qui etait passe d un continent a l autre.. la mondialisation a la renaissance... Marco polo, christophe colomb...
Nous sommes au bord d un nouveau monde.
Mais maintenant, que voulons nous en faire ?
Le blanc ce serait arriver a se reformer sans se detruire, afin que chacun puisse s y retrouver et beneficier justement des fameux progres tout en continuant a en avoir (des progres), c est a dire accepter de reflechir et d agir, non pas en terme de frontiere, mais en tenant compte des pays autour, ou au loin...
Le noir serait l effondrement de notre societe dans la suite d'une crispation sur les acquis des pays soit disant riches, fermeture des frontieres... et raz de maree en force des pays en souffrance.
Et le gris... est a inventer
Par exemple, un super outil : Internet est en train de creer une conscience collective (c'est pas loin de la noëtique ça), mais uniquement a un certain niveau (ceux qui ont acces au materiel informatique). Il cree les moyens de reagir ou d intervenir sur toute la planete. Il cree aussi les moyens de detruire de la meme facon...
c' est une spirale avec des forces opposées qui entrainent ce maelstrom vers l'effondrement, le retour en arriere, ou vers l emergence d un monde ... terrestre, voire plus si affinités.

Bah.. c est certainement pretentieux tout ca, mais cette sensation de fin d un monde est si palpable ...

mercredi 15 juillet 2009

Je vous tiens au courant ...


Et voilà, c'était la fin de mon message précédent. Et hop !! Plus de nouvelle pendant plus de six mois ! C'est tout moi, ça. .. Mais aussi, si les bonnes âmes qui râlent parce que je n'écris plus rien, y mettaient un peu du leur, ça me rappellerait au moins l'existence de ces pages !!!
Bon. Je vous tiens au courant. Cela implique que l'information arrive bientôt. Ca, c'est raté, ok. En général, la phrase qui va avec, c'est "tu vas encore oublier de me contacter !"... Et, vous voyez? là, j'ai tout bon... Je re contacte !!
Alors quoi de neuf ?
Les mondes virtuels ? Bien, il y a Kaneva. Mais ça s'use ...
Second live ? Du mal à le manier encore, mais ça vient.. Et j'aime bien mon avatar à grand manteau. On dirait un oiseau !
Imvu. Sympa mais trop hermétique entre les "rooms" (comment ça du franglais ? Ok, les pièces).
Rien ? c'est pas mal aussi. Aprés tout, je rencontre quand même du monde dans la vraie vie.. Alors, ça apporte quoi de plus ces 3D ...
On tourne en rond... Et ça c'est pas nouveau. Mais je vous ai tenus au courant !

dimanche 30 novembre 2008

Lively va mourir


Cliquez sur le titre... jusqu'au 31 décembre !!!

hé oui. Cet espace virtuel en 3D n'aura eu que six mois d'existence. Plus qu'un éphémère, d'accord; mais moins qu'il n'en faudrait pour apprécier les frontières de l'imagination en 3D. Il va d'ailleurs y avoir un grand ménage de printemps (pardon, d'hiver) sur tous les grands groupes : google vire pleins de trucs, msn aussi... que se passent-il ? La crise passe aussi par la rentabilité des sites ?

En tous cas, la mort programmée de lively fait discuter. Est ce une bonne ou une mauvaise chose ? Est ce que ça aura tant de conséquences que veulent bien le dire les lyveliens coupés dans leurs élans ? Est ce que ce ne sera qu'une nouvelle façon de rebondir sur autre chose ? Au passage, ça m a fait redécouvrir le chat 3D, que 2nd live n'avait pas réussi a me faire apprécier !
Il y a une pétition qui circule. Petit moyen pour essayer d'attendrir les coeurs des producteurs du site. Il faut la signer bien sûr, ne serait-ce que parce que beaucoup tiennent à la survie de ce coin d'internet.
Mais en parallèle, c'est vrai que lively francophone ne réunissait pas tant de monde que ça. L'anglophone un peu plus... Qui plus est, il en réunit d'ailleurs de moins en moins, ce qui aurait tendance à aller dans le sens d'une justification de le fermeture et des limites de ces pièces...
Peut etre que google nous proposera une nouvelle étape dans le genre ? Pièces commerciales (pour le côté rentabilité) associées à facilité de création pour les humbles particuliers que nous sommes... et chat à bulle !!!
Bref, rendez vous bientôt pour de nouvelles aventures... je vous tiens au courant !


samedi 18 octobre 2008

L'oubli


... comme condition du bonheur

« Dans le plus petit comme dans le plus grand bonheur, il y a toujours quelque chose qui fait que le bonheur est un bonheur : la possibilité d'oublier, ou pour dire en termes plus savants, la faculté de se sentir pour un temps en dehors de l'histoire.» C'est Nietzsche qui a dit ça. Et,là, comme dirait Karadoc, "c'est pas faux" !
En effet, imaginez un humain dans un monde où l'oubli n'est pas possible. Devant chaque situation il se rappellerait ce qu'il ne faut pas faire, les bêtises déjà commises, les affronts subis. Et il ne pourrait plus rien faire, il voudrait tuer tout le monde, il ne pourrait plus voir personne.
Où alors, si, il pourrait juste faire une seule chose, se jeter de la falaise. Seule chance pour oublier.
L'oubli... une façon de pouvoir se jeter tête baissée dans la vie. Une façon d'avoir des amis. D'aimer et d'apprécier.

Je sais, ça ne va pas être simple de rebondir la-dessus...
Mais merci pour le sujet, frankie, il m'a fait cogiter ! Dans le fond on pourrait en écrire des pages... et en plus en disant exactement l'opposé de ce que je viens de dire ! A vous la plume et le clavier gentes dames et gentils damoiseaux !

samedi 4 octobre 2008

Mondes virtuels - 4 -


Entre réalité et fiction

En fait ces fichus mondes ne sont ni d'un côté ni de l'autre. Ni réalité ni fiction. Un réseau de câbles et d'écran avec leurs mystères, avec leurs électrons qui circulent. C'est vrai çà, si les humains ne les manipulaient pas, ce ne serait que des tubes de plastiques, des circuits de cuivre, des ions qui tournent en rond ou qui vont d'un côté à l'autre. C'est bien l'imagination humaine qui fait presque exister ces mondes la. D'abord l'outil lui même est sorti de cette imagination. Pas d'humain, pas de conscience, pas d'imagination, juste de la silice, du carbone, de l'eau. Ensuite la vie donnée à ces mondes ne serait pas si on ne l'inventait pas, si on ne la jouait pas. Si on ne la voulait pas. On a créé là une nouvelle fenêtre à l'imagination humaine. Une nouvelle façon de stimuler les relations, les échanges et ça ouvre les horizons. A condition de rester dans les limites... de la virtualité et de l'humanité.

dimanche 21 septembre 2008

Mondes virtuels - 3 -




SMS en erreur


Les toutes premières fois où nous avons échangé, je n'étais pas la bonne personne. Erreur de numéro. Erreur de sms. Et pourtant, ... Y a t'il une prédestination pour que des humains si semblables se trouvent, sans se chercher ? Des chromosones à tête chercheuse ? On aurait pu être jumelles. L'impression de se connaître depuis la nuit des temps ; les mêmes doutes ; le même genre d'expériences ; les mêmes écoeurements... Et pourtant, ça tient un peu du mirage, du bal masqué. Un écran, un barrage de virtuel... sms d'abord, msn ensuite... et des échanges, du rêve, de l'amitié, des histoires, des dérapages... Comment faire le choix dans tout ça? Où commence l'imaginaire ? Où est le réel ?
Tu es si compréhensive, et pourtant si colérique, si jalouse. Mais, même derrière cet écran de fumée des mots ou des histoires virtuelles , tu ne peux pas cacher ta lucidité, ton côté rassurant, ou provocateur, direct et rieur. Ne changes pas Frankie, gardes toutes tes facettes. Au moins dans la réalité.


samedi 13 septembre 2008

Mondes virtuels - 2 -


Au faiseur de mots

Tu as été longtemps un simple marsupilami, un bugg, quasiment un incident de parcours, tu représentais un frigo ouvert avec ses deux bouteilles de bière, une gold 1664 et une heineken. Tu étais des mots qui jouaient entre eux. Car, en ces temps-là, les mondes virtuels et leurs avatars appartenaient encore à l'imagination du lecteur de science fiction.
Et, pourtant, on échangeait des histoires, des provocations. On se créait d'autres mondes, rien qu'avec ces suites de mots. Des univers, des forêts, des déserts, des nuages...
Et puis les pseudos sont tombés, infonie a fermé son talkie, le temps a passé, les rêves ont changé.
Et pourtant tu as continué à raconter des belles histoires, à re créer des nouveaux mondes.
Pendant des années ces décalages avec la réalité ont représenté une oasis, des rêves qui m'ont aidé à affronter la réalité.
C'était hier, c'était au siècle dernier, c'était un autre univers.
Aujourd'hui, Philippe, tu es toujours là. Mais la réalité a pris le pas sur les mondes électroniques. Tu es devenu réel et solide... mais si loin.
Heureusement tu racontes toujours de belles histoires.

samedi 6 septembre 2008

Mondes virtuels



A will,

Tu portes le costume du beau gosse comme personne. Normal, tu es virtuel... De la trempe des Lara Croft ou des Link de Zelda, plutôt que d'un captain Flam ou d'un Zorro.
Confidences, politique, humanisme, échanges, ta conversation est un vrai melting pot. Tu croises les phrases avec Caroline, Bleyswallow, avec Laula , Syllenius, Antarius ou Batist, ça devient un melting potes.
Tu es un phénomène dans ces mondes.
Narcissique aussi.
Tu sais parler de toi. Et pourtant tu fais parler les autres. Car si personne n'est là pour t'aimer ou t'apprécier, tu n'es plus rien, tu es perdu.
Will Hunting. Tu pourrais représenter la beauté, la noblesse, l'amitié, l'amour et l'écoute dans tous ces mondes de fiction.
Tu pourrais te poser en sage, en juge entre ceux qui te croisent ou qui font un bout de chemin avec toi.
Tu peux être ce que tu veux, ce qui te tente, entouré par tes compagnes et compagnons des mondes virtuels.
Mais, Will, qui est l'humain quand tu ne peux plus façonner ton ombre ?


mardi 2 septembre 2008

200ème

Hourra !
Aujourd'hui au moins 195 visiteurs du profil, donc un peu plus théoriquement de ce magnifique blog ! Bon. Là, d'accord, ce n'est pas du tout humble. D'autant que je me demande si 200 visiteurs en 3 mois, c'est si bien que ça.
Question existentielle : qu'offrir au 200ème visiteur ? Et puis d'ailleurs, comment le définir, l'identifier ?
Résultat, un appel au peuple : chers lecteurs, allez voir mon profil de sorcière, et regardez si vous êtes LE 200ème. Si c'est le cas, manifestez vous dans ces commentaires... et vous aurez droit à .. un magnifique lot !!!
Petit indice, le lot sera en fonction du but de ces pages et de mes moyens : si vous me donnez quelques renseignements, ce sera tout simplement un petit article sur vous, cher (chère) camarade 200ème...
A tout de suite. Peut être.


vendredi 25 juillet 2008

Chiures de mouches

Imaginativement, la vie humaine n'a pas plus de valeur que la vie d'une mouche. Pratiquement, je respecte toute vie, même celle d'une mouche, animal aussi énigmatique et admirable qu'une fée.
[ Mon dernier soupir ]
Citations de Luis Buñuel

Une mouche ? c'est trop d'honneur. Si nous n'existons plus, la terre continuera de tourner... et il est fort probable que les mouches, de toutes façons, seront toujours là. Adaptées, mais présentes, comme elles l'ont été bien avant nous ! Donc, en fait, la vie d un humain, voire de la race humaine, n'a pas plus de valeur qu'une chiure de mouche, une chiure étant minuscule, éphémère, et, quelque part, sans conséquence... Que nous sommes petits, petits, petits !!!!


vendredi 18 juillet 2008

... oups ...


Pour satisfaire une femme à coup sur :

- Caresser, faire des éloges, dorloter, faire les choses avec goût, masser, faire des plans pour le futur, complimenter, supporter, ne pas tourmenter, être propre, être apaisant, consoler, étreindre, choyer, exciter, calmer, protéger, téléphoner, anticiper, bécoter, desservir, pardonner, se sacrifier, partir, revenir, supplier, divertir, charmer, rester en arrière, ramper, démontrer l'égalité, fasciner, attendre, implorer, pleurer, se laver, se raser, avoir confiance, s'aplatir, défendre, cajoler, bien se vêtir, glorifier, se parfumer, fusionner, pétiller, aider, câliner, être sensible, admettre, progresser, récompenser, embrasser, accepter, écouter, comprendre, évoluer, offrir des cadeaux, aimer danser, quémander, implorer, s'adapter, soigner, réparer, respecter, soulager, mourir pour elle, tuer pour elle, rêver d'elle, promettre, délivrer, servir, taquiner, flirter, se confier, s'engager, désirer, murmurer, se blottir, élever, adoucir, servir, frotter, sauver, mordiller, gratifier.

Pour satisfaire un homme à coup sur :

- Sucer.

mercredi 16 juillet 2008

Les dieux


Aujourd'hui les avancées de la science sont telles que l'être humain est enfin obligé d'assumer ses erreurs... et ses succès. Dans un sens, j'aurais bien aimé avoir quelques dieux, même râleurs, sur le dos, pour arriver à dire en réelle bonne foi que ce qui se passe n'est pas ma faute. C'est le destin... pas le déterminisme, mais un simple destin tout bête, où un dieu ou une déesse, n'importe lequel, aurait pris plaisir à venir m'embêter parce que ... bah, pour n'importe quoi. Comme dans la mythologie grecque (ou romaine d'ailleurs). Plein de dieux pour pleins de situations, et pour expliquer tout ce qu'on ne connait pas ! Elle est pas belle la vie !! Plus l'ombre d'une culpabilité pour nous autres, humains arrogants ! Forcément, face à tous ces dieux qui sont la personnification des forces qui gouvernent l'univers, que représentons-nous, nous autres, humbles mortels ? C'est quand même bien pratique, ça. Nous devrions revenir à ces religions polythéistes. Surtout que, dans le fond, ils sont bien sympas ces dieux mesquins et rancuniers. Qu est ce qu'ils nous ressemblent !

mardi 8 juillet 2008

Dolce vita


Pourquoi sommes-nous là ? Pourquoi sommes-nous ce que nous sommes ? Pour quoi faire ? Vers quoi allons-nous ? Aie, aie, aie… Depuis que l’humain est humain il se demande tout cela (je sais pas pour vous, mais pour moi, c’est sûr ! je me le demande…)… et nous n’avons toujours pas une bribe de réponse ! un simple indice, un détail…


Et pourtant. Il y a des moments où la question ne se pose plus. Tu as vu ce rayon de soleil qui joue avec les mouettes sur le quai de seine ? Et ce gamin qui, parce que tu lui as donné un simple renseignement, te trouve sympa et te le dit ? Et puis ce café pris à la terrasse du café à l’ombre des platanes sur cette place de paris ? La liste peut être longue : la visite imprévue de cet ami, comme le coup de fil impromptue de ton fils, rien que pour dire bonjour, l'odeur de barba papa sur ce coin de rue ...


Dans le fond, il faut arrêter les questions… Les petits détails, les instants insignifiants, dérisoires, les moments volés à la routine, voilà qui change la journée, qui l’éclaire et qui te réconcilie avec le reste.


Carpe diem. Pas simple mais faisable, avec une vie « courante » qui favorise plutôt le stress.

La douceur de vivre, la vouloir et l’appliquer. Profiter de l’instant qui est là. Voila un bout de bonheur. Voila ma définition, très personnelle de la douceur de vivre…


dimanche 6 juillet 2008

Développement durable



D'abord, c'est quoi ça ? On peut peut être résumer en disant que chaque être humain et ses descendants ont droit aux ressources de la terre. Ça, c'est la définition humaine... Elle veut tout simplement dire que nous avons intérêt à faire très attention si nous voulons que nos descendants vivent ici. Ici sur notre terre mère. Ou alors il faut faire de sacrés rapides progrès en technologie et en astronomie pour s'exiler sur une planète sympa. Mais bon sang ! Comment pouvons-nous être collectivement aussi aveugle sur les dégâts que nous causons et sur les conséquences de nos façons de vivre et de produire ? Bien sûr qu'il n'est pas question de retourner à l'âge de pierre, ni même du fer d'ailleurs. Mais, aujourd'hui notre technologie est telle qu'elle devrait permettre de diminuer fortement cette fuite en avant. Et pourtant ... Tiens au fait, il y a combien de kilomètres de bouchons pour les départs en vacances ? et combien de véhicules hybrides au moins... ou qui utilisent des énergies renouvelables ? ... pas les bio-énergies hein !!! cela, c'est encore autre chose (charybde et scylla, vous connaissez ?).

lundi 23 juin 2008

Les pins.. . et leurs ressources inepuisables


Avez vous deja imaginé tout ce qu on peut faire avec cet arbre ???? Des belles photos, bien sur. Mais aussi des meubles... bois blanc qui rougit avec le temps. Et des enveloppes, du kraft, de la thérébentine... despistes de ski (avec les grepins)... et des splendides mouclades ! plein de choses !inepuisable dans cette foret artificielle !
J en oublie forcement...
Ah oui, j oubliais l effet calmant et apaisant !!

Sauf que je n arrive pas a attacher la photo !!
mais je vais insister ....
ca y est !!! hourra !!!!